HOLY ELECTRONS KINGDOM "HEK"
Site menu
Our poll
Que dites-vous du site HEK?
Total of answers: 2713
Log In
  • In Google Chrome, to translate  this page into French, click on the right mouse button and choose "translate to French".
  • Dans Google Chrome pour traduire en anglais, cliquer à droite de la souris et choisir "traduire en anglais". 

LES DERNIERES INFORMATIONS AU TOP EN INFORMATIQUESanimated-reading-smiley-image-0042

Janvier et Février 2022

 

When you're using Chrome

  • to translate in english, click on the right of the mouse and choose "translate to english".
  • pour traduire en anglais, cliquer à droite de la souris et choisir "translate to english".

 

1. LE 12 FÉVRIER 2022 / PÉRIPHÉRIQUES : Test WD Black SN770 : Un SSD sans DRAM mature et abordable

Western Digital présente le SSD Black SN770 qui passe en PCIe 4.0. Il affiche de bonnes performances pour un lecteur moyen de gamme. Il montre aussi la maturité des SSD sans cache DRAM interne pour un tarif abordable.

Le SSD WD Black SN770 affiche un bon compromis entre performance et prix abordable. (Crédit Photo: Western Digital). Le WD Black SN770 est un SSD NVMe sans DRAM (mémoire tampon hôte) performant pour les tâches quotidiennes. (Crédit : WD)

 

En termes de prix et de performances, le dernier SSD NVMe PCIe 4.0 Black SN770 de Western Digital rivalise avec des SSD similaires de milieu de gamme. Il prouve une fois encore qu’un SSD sans DRAM peut être très efficace dans les systèmes qui le supporte. Certes, il ne fera pas mieux que certains lecteurs mieux dotés en cache, au prix conséquent, mais le WD Black SN770 est rapide et abordable et peut très bien satisfaire les besoins courant d’un PC.

 

Design et caractéristiques

Dans une conception sans cache DRAM interne, le SSD utilise la mémoire tampon hôte (Host Buffer Memory, HBM), c'est-à-dire la mémoire vive de l’ordinateur hôte comme cache principal. Dans le cas du SN770, le contrôleur est une conception propriétaire de WD/Sandisk et la NAND est une TLC à 112 couches selon le fournisseur. Á noter que l'image ci-dessous montre le dissipateur thermique inclus. Ce n’était pas le cas de l’unité qui a servi pour ce test. 

Alors que la mémoire de bus hôte, ajoutée au NVMe à partir de la version 1.2, n'était pas très performante sur les premières unités de ce type que nous avons testées, ce design semble arrivé à maturité avec le WD Black SN770 et l'Adata Atom 50, testé récemment. Il semble qu'il a fallu un certain temps aux concepteurs du contrôleur pour en maîtriser l’implémentation. De la même manière, la Sony Playstation 5 ne prend pas en charge le HBM (High Bandwith Memory). L’utilisation du SSD SN770 (ou de l'Atom 50) dans cette console ne permet pas de profiter de performances optimales, même si le cache secondaire (TLC utilisé en mode SLC pour accélérer les temps d’écritures) devrait lui permettre de fournir les performances adéquates.

Le SN770 est disponible en plusieurs versions : 250 Go (79,95 €) ; 500 Go (84,95 €), 1 To (159,95 €), 2 To (329,95 €) (tarifs LDLC.com). Les SSD sont garantis 5 ans ou 200TBW, 300TBW, 600TBW et 1200TBW (Teraoctets écrits pendant la durée de vie du disque) respectivement, des temps moyens observés dans cette gamme de prix. Á noter que le TBW par Go est un peu plus élevé avec la version en 250 Go. Selon les spécifications fournies par WD, la version 500 Go sera légèrement plus lente, et la version 250 Go sera 50 % moins rapide en écriture et 25 % en lecture. Cela reste très rapide, mais, si votre budget le permet, les modèles 1 To ou 2 To offrent une meilleure expérience globale.

Performances

WD parle de la rapidité du SN770 dans sa documentation, mais c'est surtout par rapport aux anciens SSD utilisant le bus PCIe 3.0 (plus lent). Sur PCIe 4, même si la performance est bonne dans l'ensemble (en particulier dans les transferts réels), ce n'est pas le SSD le plus rapide de notre panel de test. Dans le benchmark CrystalDiskMark 6 ci-dessous, le WD Black SN770 est un peu plus rapide que l'Adata Atom 50, similaire en termes de débit soutenu.

Le WD Black SN770 a obtenu de bonnes performances, voire de très bonnes avec le benchmark CrystalDiskMark 6. (Crédit : PCWorld)

Comme on peut le voir à droite, dans les tests de transfert de 48 Go, le SN770 est un peu plus lent que l'Atom 50, mais il se classe tout de même en cinquième position parmi les quelque trente SSD que nous avons testés. Comme l'Atom 50 et le SN770 sont des SSD HBM, on peut supposer que l'utilisation de la mémoire système a un effet positif net sur les performances des petits fichiers, du moins sur le bus PCIe 4 plus rapide. Même s’il est surpassé par l'Adata Atom 50 testé récemment, le SN770 s’est montré rapide puisqu’il arrive à la 5e place dans nos tests de transfert d’un fichier de 48 Go. Le HBM n’est plus un obstacle à la performance dans les systèmes qui le supportent. (Crédit : PCWorld).

Par contre, le SSD WD Black SN770 ne s’est pas distingué dans le test d’écriture d'un gros fichier de 450 Go, signe évident qu'il n'avait plus de cache TLC-as-SLC secondaire. 

Le seul test où le SN770 n'a pas réussi est celui de l'écriture d’un fichier de 450 Go. Tout allait bien jusqu'à environ 375 Go (voir l'image suivante), puis la vitesse d'écriture a chuté à environ 425 Mo/s. (Crédit : PCWorld)

 

Dans la capture d'écran ci-dessous, on peut voir que le SN770 de 1 To n'a plus de cache secondaire à environ 375 Go. Ce n'est pas exceptionnel, et peu d'utilisateurs écriront un fichier de cette taille, même si les disques haut de gamme le gèrent mieux.

La chute des performances est bien visible dès que le SN770 est à court de cache secondaire. La baisse de performance devrait intervenir plus tard sur la version 2 To, et se produira plus tôt sur les versions 250 Go et 500 Go. (Crédit : PCWorld)

Il est probable que le SSD SN770 de 2 To ne subirait pas de ralentissement dans ce test, mais comme pour la version 250 Go, le 500 Go devrait se retrouver à court de cache secondaire bien plus tôt. Oui, la version de 250 Go manque d’espace et se retrouve à court de cache assez vite, d’où son manque de performance dans ce test. Dans l’ensemble, le SSD SN770 obtient d’assez bons résultats dans ces tests et il se montre performant dans les tâches courantes, même s'il n'est pas aussi performant que le SSD Adata Atom 50 concurrent. Néanmoins, la différence sera difficile à percevoir.

Les performances d'écriture diminuent à mesure que le lecteur se remplit. De plus, dans certains rares cas, les constructeurs changent les composants, ce qui peut affecter les performances. WD ne promet pas que les composants du SN770 ne changeront pas avec le temps, mais d’après l’expérience que nous avons des produits de WD, les performances resteront identiques même si c'est le cas.

Une bonne affaire

Même si WD a modernisé son design en termes de performances, le SSD NVMe PCIe 4 Black SN770 se situe toujours dans la moyenne des SSD de sa catégorie. Cependant, dans cette moyenne des SSD PCIe 4 NVMe, les performances sont très, très rapide dans la pratique, et WD a fait en sorte de le proposer à un prix attractif. Donc, globalement, vous n'aurez pas à vous plaindre si vous en achetez un pour votre PC. Cela dit, si vous cherchez un SSD pour mettre à niveau le stockage de votre PlayStation 5, il est peut-être préférable de vous orienter vers un SSD intégrant de la cache DRAM.

 

 

 

2. LE 09 FÉVRIER 2022 / PC DE BUREAU : Microsoft unifie la sécurité des terminaux Android et Windows avec Defender

Considérant désormais les terminaux Android et les PC Windows comme faisant partie d'un écosystème holistique commun, Microsoft a lancé la dernière bêta de sa solution Defender. Désormais disponible, l’aperçu multiplateforme de Windows Defender de Microsoft, connu sous le nom de Microsoft Defender Preview, peut protéger le La prochaine version de Defender pourrait remplacer plus tard Windows Security mais Microsoft n'a pas encore précisé ce point. (crédit : Microsoft)téléphone Android et le PC Windows d’un même utilisateur. Si vous possédez uniquement un PC sous Windows 11, rien ne vous oblige à télécharger la dernière application du fournisseur américain. Par contre, si vous possédez un téléphone Android en plus d’un PC, on ne peut que vous recommander d'essayer cet utilitaire gratuit qui promet de surveiller les fichiers téléchargés et les liens auxquels vous accédez sur votre mobile. Defender Preview est aussi censé protéger les Mac, mais l’information n’a pas été confirmée par Microsoft et nous n’avons pas testé l’utilitaire sur cette plateforme. Par contre, il y a une contrainte : il faut impérativement un compte Microsoft pour utiliser cette bêta sachant que l’utilitaire ne pourra protéger que quatre terminaux en tout. 

Le site WindowsLatest a remarqué que la page de l'application Microsoft Defender Preview était désormais en ligne sur le Microsoft Store et sur Google Play. Et si Microsoft Defender Preview Store était actif depuis janvier 2022, le service lui-même ne l’était pas. Mieux vaut installer l'application sur le téléphone/tablette Android et sur le PC si l’on veut voir comment Defender protège tous les appareils.

Simple d'utilisation sur Android

Sur PC, Microsoft Defender Preview n’a pas l’air d’être très différent du Windows Defender déjà installé. En fait, Microsoft Defender nettoie simplement le tableau de bord de détection des virus et des menaces, Virus-protection contre les menaces, dans Sécurité de Windows de Windows Defender et le présente dans un style moderne, proche de Windows 11. Il semble toutefois que retirer et nettoyer des portions de Windows et les réaffecter à d'autres est une pratique assez courante aujourd’hui. Cependant, on ne sait pas si Defender pourrait remplacer plus tard Windows Security.

Sur un smartphone Android, l’utilisation de Defender est beaucoup plus simple. Certes, Google et Android travaillent en coulisses pour protéger le mobile, mais cette solution fournit la preuve que c’est effectivement le cas, une façon de rassurer l’utilisateur. Cet outil renifle les liens auxquels il accède sur son téléphone pour s'assurer qu’il ne télécharge pas de logiciels malveillants. L’utilitaire examine également toutes les applications déjà présentes sur le mobile pour s'assurer qu'elles n’abritent pas de logiciels malveillants d’après une liste de référence. Et s'il trouve quelque chose, il affichera une notification. 

Taillé pour les utilisateurs novices ?

Pendant l’installation sur Android, Defender demande l'autorisation d'accéder aux Services d'accessibilité (Accessibility Services) de l’appareil pour pouvoir examiner les liens et les applications. Il demande également de basculer manuellement le commutateur pour valider l’autorisation, une opération pas forcément habituelle pour tous. Les analyses sont lancées périodiquement, avec un impact sur l'autonomie de la batterie, difficile à évaluer. La vérification des paramètres Android peut s’avérer utile pour avoir une idée de la quantité de ressources consommées par ce produit.

Il n’est pas certain que Microsoft Defender soit très utile à des utilisateurs de PC et d'Android confirmés. Par contre, pour les préadolescents et les adolescents ayant un téléphone pour communiquer avec leurs parents, cette solution peut apporter une bonne protection de sécurité pour s'assurer qu'ils ne téléchargent pas une app qui pourrait voler leurs données.

 

3. LE 03 FÉVRIER 2022 / PC DE BUREAU : Les acteurs IT accaparent le marché des semi-conducteurs en 2021

Apple, Samsung, Lenovo et sept autres acteurs de l'IT ont dépensé ensemble plus de 245 Md$ en achats de composants électronique en 2021. En un an, leurs investissements ont bondi de 25%. Si elle n'est pas la seule à s'approvisionner en composants électroniques, l'industrie IT en est assurément l'une des plus grosses consommatrices, si En 2021, les ventes mondiales de processeurs, de mémoires et autres modules de communication ont dépassé pour la première fois les 500 Md$ pour atteindre précisément 583,5 Md$. Illustration : D.R.ce n'est la plus grosse. Selon Cette position repose principalement sur 10 de ses grands noms. Selon Gartner, ils ont acheté à eux seuls pour 245,6 Md$ de puces en 2021, afin qu'équiper les smartphones, PC, tablettes et autres serveurs qu'ils produisent. Une somme qui correspond à 42% des 583.5 Md$ de chiffres d'affaires généré par les fournisseurs de semiconducteurs l'an dernier. Cette part est identique à celle qui était la leur en 2020, mais constitue néanmoins une forte augmentation de dépenses (+ 25,2%) en valeur absolue sur un marché des composants électroniques qui a progressé de 120 Md$ l'an dernier.

En 2021, les ventes mondiales de processeurs, de mémoires et autres modules de communication ont dépassé pour la première fois les 500 Md$ pour atteindre précisément 583,5 Md$. Illustration : D.R.

Si elle n'est pas la seule à s'approvisionner en composants électroniques, l'industrie IT en est assurément l'une des plus grosses consommatrices, si ce n'est la plus grosse. Selon Cette position repose principalement sur 10 de ses grands noms. Selon Gartner, ils ont acheté à eux seuls pour 245,6 Md$ de puces en 2021, afin qu'équiper les smartphones, PC, tablettes et autres serveurs qu'ils produisent. Une somme qui correspond à 42% des 583.5 Md$ de chiffres d'affaires généré par les fournisseurs de semiconducteurs l'an dernier. Cette part est identique à celle qui était la leur en 2020, mais constitue néanmoins une forte augmentation de dépenses (+ 25,2%) en valeur absolue sur un marché des composants électroniques qui a progressé de 120 Md$ l'an dernier.

Hausse de 15% du prix moyen des composants

Deux facteurs combinés expliquent l'importante augmentation du montant des commandes des dix marques IT les plus dépensières. D'une part, la hausse du nombre de produits finis qu'elles ont vendus sur la quasi-totalité des marchés où elles opèrent. En second lieu, la faiblesse de l'offre en composants par rapport à la demande, malgré le fait que les fabricants de semiconducteurs aient augmenté leur production. « Le prix de vente moyen des composants, comme les microcontrôleurs, les circuits intégrés à usage général, et une variété de produits à usage spécifique, a augmenté de 15% et plus en 2021. La pénurie de semiconducteurs a fait paniquer les fabricants de matériels informatiques et les a amené à faire de la double réservation, entraînant une inflation importante de leurs dépenses », explique Masatsune Yamaji, analyste chez Gartner.

68,3 Md$ d'achats pour Apple

En 2021, c'est encore une fois Apple qui a dépensé le plus pour disposer des composants nécessaires à la production de ses iPhone et Mac. 68,3 Md$ exactement, soit 26% de plus qu'en 2020. Les achats de Samsung ont subi de leur côté une hausse de 28,5% à 45,8 Md$. Lenovo s'est hissé à la troisième place des marques IT les plus gourmandes en puces avec 25,8 Md$ d'investissements (+32,9%). BBK Electronics se positionne juste derrière avec une facture de 23,3 Md$. Ce conglomérat chinois exploite notamment les marques de smartphones Oppo, Vivo, OnePlus et Realme. Toujours numéro 5, Dell a consacré de son côté 21,01 Md$ (+25,4%) à ses achats de processeurs. Le reste du classement des dix meilleurs clients des fabricants de semiconducteurs est composé, dans l'ordre, de Xiaomi, Huawei, HP Inc, Hon Hai Precision et HPE.

 

4. LE 03 FEVRIER 2022   Le secret du cerveau pour l'apprentissage tout au long de la vie peut désormais être intégré à l'intelligence artificielle. Source: Purdue University

Alors que les entreprises utilisent de plus en plus de données pour améliorer la façon dont l'IA reconnaît les images, apprend les langues et effectue d'autres tâches complexes, un article récent montre comment les puces informatiques pourraient se recâbler dynamiquement pour absorber de nouvelles données comme le fait le cerveau, aidant ainsi l'IA à continuer d'apprendre au fil du temps.

Lorsque le cerveau humain apprend quelque chose de nouveau, il s'adapte. Mais lorsque l'intelligence artificielle apprend quelque chose de nouveau, elle a tendance à oublier les informations qu'elle a déjà apprises.

Alors que les entreprises utilisent de plus en plus de données pour améliorer la façon dont l'IA reconnaît les images, apprend les langues et exécute d'autres tâches complexes, un article publié dans Science cette semaine montre une façon dont les puces informatiques pourraient se recâbler dynamiquement pour absorber de nouvelles données comme le fait le cerveau, aidant ainsi l'IA à continuer d'apprendre au fil du temps.

"Le cerveau des êtres vivants peut apprendre en permanence tout au long de leur vie. Nous avons maintenant créé une plateforme artificielle permettant aux machines d'apprendre tout au long de leur vie", a déclaré Shriram Ramanathan, professeur à l'école d'ingénierie des matériaux de l'université Purdue, spécialisé dans la découverte de la manière dont les matériaux pourraient imiter le cerveau pour améliorer l'informatique.

Contrairement au cerveau, qui forme constamment de nouvelles connexions entre les neurones pour permettre l'apprentissage, les circuits d'une puce informatique ne changent pas. Un circuit qu'une machine utilise depuis des années n'est pas différent du circuit qui a été construit à l'origine pour la machine dans une usine.

C'est un problème pour rendre l'IA plus portable, par exemple pour les véhicules autonomes ou les robots dans l'espace qui devraient prendre des décisions par eux-mêmes dans des environnements isolés. Si l'IA pouvait être intégrée directement dans le matériel plutôt que de s'exécuter sur un logiciel comme c'est généralement le cas, ces machines pourraient fonctionner plus efficacement.

Dans cette étude, Ramanathan et son équipe ont construit une nouvelle pièce de matériel qui peut être reprogrammée à la demande par des impulsions électriques. Ramanathan pense que cette adaptabilité permettrait au dispositif d'assumer toutes les fonctions nécessaires à la construction d'un ordinateur inspiré du cerveau.

"Si nous voulons construire un ordinateur ou une machine qui s'inspire du cerveau, nous devons avoir la capacité de programmer, de reprogrammer et de modifier la puce en permanence", a déclaré M. Ramanathan.

Vers la construction d'un cerveau sous forme de puce

Le matériel est un petit dispositif rectangulaire fait d'un matériau appelé nickelate de pérovskite, qui est très sensible à l'hydrogène. L'application d'impulsions électriques à des tensions différentes permet au dispositif de modifier la concentration d'ions hydrogène en quelques nanosecondes, créant ainsi des états qui, selon les chercheurs, pourraient être associés aux fonctions correspondantes du cerveau.

Lorsque le dispositif a plus d'hydrogène près de son centre, par exemple, il peut agir comme un neurone, une cellule nerveuse unique. S'il y a moins d'hydrogène à cet endroit, le dispositif sert de synapse, une connexion entre neurones, que le cerveau utilise pour stocker la mémoire dans des circuits neuronaux complexes.

En simulant les données expérimentales, les collaborateurs de l'équipe de Purdue à l'université de Santa Clara et à l'université d'État de Portland ont montré que la physique interne de ce dispositif crée une structure dynamique pour un réseau neuronal artificiel capable de reconnaître plus efficacement les motifs et les chiffres de l'électrocardiogramme que les réseaux statiques. Ce réseau neuronal utilise le "calcul par réservoir", qui explique comment les différentes parties d'un cerveau communiquent et transfèrent les informations.

Les chercheurs de l'université d'État de Pennsylvanie ont également démontré dans cette étude qu'à mesure que de nouveaux problèmes se présentent, un réseau dynamique peut "choisir" les circuits les mieux adaptés pour résoudre ces problèmes.

Comme l'équipe a pu construire le dispositif en utilisant des techniques de fabrication standard compatibles avec les semi-conducteurs et le faire fonctionner à température ambiante, M. Ramanathan pense que cette technique peut être facilement adoptée par l'industrie des semi-conducteurs.

"Nous avons démontré que ce dispositif est très robuste", a déclaré Michael Park, étudiant en doctorat à Purdue en génie des matériaux. "Après avoir programmé le dispositif sur un million de cycles, la reconfiguration de toutes les fonctions est remarquablement reproductible."

Les chercheurs travaillent à la démonstration de ces concepts sur des puces d'essai à grande échelle qui seraient utilisées pour construire un ordinateur inspiré du cerveau.

Les expériences menées à Purdue l'ont été au FLEX Lab et au Birck Nanotechnology Center du Discovery Park de Purdue. Les collaborateurs de l'équipe au laboratoire national d'Argonne, à l'université de l'Illinois, au laboratoire national de Brookhaven et à l'université de Géorgie ont mesuré les propriétés du dispositif.

La recherche a été soutenue par le Département de la Science du ministère américain de l'énergie ( U.S. Department of Energy Office of Science), le Département de la recherche scientifique de l'armée de l'air (the Air Force Office of Scientific Research) et la Fondation de la Science National (the National Science Foundation.).

 

5. LE 21 JANVIER 2022 / PROCESSEUR

SAMSUNG détrône Intel sur le marché des semi-conducteurs. Les ventes mondiales de semi-conducteurs se sont élevées à plus de 580 Md$ en 2021. Aidé par le dynamisme du segment de la mémoire , Samsung a conquis la première place du marché face à Intel. Au vue de la pénurie de composants qui règne depuis deux ans, il était acquis que le marché des semi-conducteurs verrait sa valeur s'envoler en 2021. La dernière étude de Gartner sur le secteur confirme cette évidence et en précise surtout l'ampleur. Sur 12 mois, les ventes de processeurs, de mémoires et autres modules de communication ont dépassé pour la première fois les 500 Md$ et atteint précisément 583,5 Md$. Ces revenus traduisent une croissance de 25,1% d'une année sur l'autre, bien supérieure à la hausse déjà très confortable de 10,4% constatée en 2020. %.

Evolution des ventes mondiales des fabricants de semiconducteurs entre 2020 et 2021. Source : Gartner« Le rebond de l'économie mondiale l'an dernier a créé des pénuries sur toute la chaine d'approvisionnement des semi-conducteurs [...] La combinaison d'une forte demande, de problèmes logistiques et d'une hausse du coût des matières premières a fait grimper le prix de vente moyen des semi-conducteurs et contribué à la croissance globale du chiffre d'affaires », explique Andrew Norwood, analyste chez Gartner.

27% de croissance pour le marché de la mémoire

Encore une fois, ce sont les ventes de modules mémoire qui ont rapporté le plus : 197,2 Md$ exactement, soit 42,1 Md$ de plus qu'en 2020. Sur ce montant, 92,5 Md$ proviennent des livraisons de DRAM dont la valeur s'est ainsi appréciée de 40,4%. Le marché de la mémoire a bénéficié des déploiements de serveurs réalisés par les grands opérateurs cloud pour satisfaire les besoins des utilisateurs en matière de travail et d'enseignement à distance. Il a également profité de la forte hausse des achats de PC et d'ultramobiles.

Le marché des smartphones 5G a lui aussi contribué à doper les revenus du marché des semi-conducteurs, la production unitaire de terminaux ayant plus que doublé pour atteindre 555 millions en 2021, contre 250 millions en 2020. « Les sanctions américaines imposées à Huawei ont permis à d'autres équipementiers chinois de smartphones de gagner des parts de marché et d'alimenter la croissance des ventes de chipset 5G de fournisseurs tels que Qualcomm, MediaTek et Skyworks. Pendant ce temps, HiSilicon, la filiale de puces de Huawei, a vu ses revenus passer de 8,2 Md$ en 2020 à environ 1 Md$ en 2021 », indique Andrew Norwood.

Intel stagne quand tous progressent fortement

La vigueur des ventes de mémoire a largement profité à Samsung qui est le premier fabricant de ce type de produit dans le monde. Elle lui a permis de prendre la place de numéro un du marché global des semi-conducteurs en valeur qu'occupait Intel depuis 2018. L'américain a fait pâle figure l'an dernier et réalisé de très loin la plus mauvaise performance du marché avec des ventes de semi-conducteurs en croissance de seulement 0,5%. Dans le même temps, celles du Coréen bondissaient de 31,6%. Résultat, le second a fini l'année 2021 avec 13% de part de marché contre 12,5% pour le premier. Grand spécialiste de la mémoire lui aussi, SK Hynix affiche des ventes en hausse de 40,5% et conserve sa troisième place sur le marché des semi-conducteurs.

 

5. LE 21 JANVIER 2022 / SERVEUR

Intel s'implique dans le refroidissement par immersion. Le géant des puces s'est associé avec la startup Green Revolution Cooling (GRC) pour promouvoir plus largement le refroidissement des serveurs par immersion. 

Green Revolution Cooling (GRC), une startup spécialisée dans le refroidissement par immersion pour le matériel serveur, va travailler avec Intel afin de faire adopter plus largement cette technologie dans les datacenters. Le partenariat pluriannuel annoncé par les deux entreprises implique une collaboration avec des clients de centres de calcul afin de développer et de mettre en œuvre des techniques avancées de refroidissement par immersion pour les futurs datacenters. Les deux entreprises prévoient de tester la sécurité et la fiabilité de la technologie pour les serveurs racks refroidis par immersion et équipés de processeurs Intel Xeon Scalable. 

Les salles de serveur refroidis par immersion sont appelées à se développer pour réduire la consommation d'énergie des machines. (Crédit Green Revolution Cooling)Le refroidissement par immersion est tel que son nom l’indique. 

Au lieu de recouvrir le processeur et les autres puces de dissipateurs thermiques (radiateurs et ventilateurs, l'ensemble de la carte mère est immergé dans un bain liquide qui maintient tout le matériel au frais. Évidemment, le bain n'est pas de l'eau, mais un fluide non conducteur qui ne risque pas de griller l'électronique. Les partenaires avancent que les racks refroidis par immersion et alimentés par des processeurs Intel Xeon Scalable seraient plus performants, mais ce sont les GPU et les accélérateurs dédiés à l’intelligence artificielle qui pourraient vraiment bénéficier de l'immersion, car ce sont ceux qui chauffent le plus.

Mis à part l’aspect recherche, les deux entreprises prévoient de travailler ensemble pour faire connaître les avantages de la technologie de refroidissement par immersion liquide en organisant des webinaires, en réalisant des podcasts et en publiant des livres blancs. « Notre collaboration avec GRC s'aligne sur l'objectif d'Intel de soutenir les technologies de pointe pouvant offrir une efficacité et une densité accrues pour les déploiements de datacenters et les déploiements edge », a déclaré dans un communiqué Mohan Kumar, senior fellow chez Intel. « Grâce à cette collaboration, nous sommes en mesure de fournir aux clients des solutions personnalisées pour répondre à leurs besoins en matière de calcul et de refroidissement, et garantir que les datacenters fonctionnent d'une manière plus respectueuse de l'environnement », a-t-il ajouté. Le partenariat de Green Revolution Cooling avec Intel dans le refroidissement par immersion n'est pas le premier du genre pour la jeune pousse. En août 2021, GRC a annoncé un accord similaire avec la start-up européenne Submer, spécialisée dans le refroidissement par immersion, pour développer des systèmes immersibles basés sur Xeon Scalable.

Une solution qui gagne en popularité

Cette année pourrait bien être l'année de rupture pour le refroidissement par immersion. L’an dernier, Microsoft s’est déjà distingué par des initiatives en la matière. Le fournisseur a notamment lancé une vaste expérience de refroidissement par immersion dans son datacenter de Quincy (Washington), pour constater que, grâce au refroidissement par immersion, les serveurs consommaient 5 à 15 % d’énergie en moins. Microsoft a utilisé des cuves d'immersion DataTanks fabriquées par le fournisseur de matériel chinois Wywinn. L'année dernière, Wywinn a reçu un financement de 10 millions de dollars pour lancer LiquidStack, une filiale chargée de vendre les unités DataTanks. Microsoft a été l'un des premiers à adopter DataTanks, ce qui a sans aucun doute contribué à le faire connaître. Avec l’implication d’Intel, il ne se passera sans doute pas beaucoup de temps avant que les hyperscalers (AWS, Google) et autres fabricants de puces (AMD, Nvidia) adoptent religieusement le refroidissement par immersion. Les chances sont donc fortes d’assister à une percée de la technologie cette année. 

 

6. LE 19 JANVIER 2022 / PROCESSEUR

Bonanza, un circuit Intel dédié au minage de bitcoins. Intel a évoqué un projet de circuit intégré destiné au calcul Bitcoin. Elle pourrait être dévoilée lors d'une prochaine conférence, signe que l'entreprise s'intéresse de plus près au cryptomining. 

Au mois de décembre dernier, Raja Koduri, vice-président senior et directeur général de l'Accelerated Computing Systems and Graphics (AXG) Group chez Intel, laissait entendre que les projets d’Intel pour la blockchain ne prévoyaient pas le développement de CPU ou de GPU polyvalents. (crédit : Intel) Au mois de décembre dernier, Raja Koduri, vice-président senior et directeur général de l'Accelerated Computing Systems and Graphics (AXG) Group chez Intel, laissait entendre que les projets d’Intel pour la blockchain ne prévoyaient pas le développement de CPU ou de GPU polyvalents. (crédit : Intel)

Intel a signalé que la prochaine génération de plateformes de minage de Bitcoin pourrait bien porter le label Intel Inside. En effet, l’entreprise a annoncé que lors d'une prochaine conférence en ligne de l'ISSCC, le 23 février 2022, elle pourrait présenter un circuit intégré optimisé pour le minage de Bitcoin. Le programme de l'International Solid-State Circuits Conference comprend dans sa liste Bonanza Mine, un ASIC  à ultra-basse tension et à faible consommation d'énergie dédié au minage de Bitcoin. Or, le document a été écrit par trois employés d'Intel. Il a été mis en avant par Tom's Hardware.

A ce stade on ne sait pas si Intel prévoit réellement de livrer Bonanza Mine en tant que produit fini ou en tant que projet de recherche. Mais la liste des chercheurs impliqués dans ce projet et qui prendront la parole lors de la conférence fait plutôt pencher la balance vers cette seconde hypothèse. L'auteur principal, Vikam Suresh, est en effet présenté comme un chercheur de l'Intel Labs où il y effectue des recherches sur le design de microarchitectures et de circuits à haute performance et à faible consommation d'énergie pour le chiffrement et l'authentification des données, la conception de primitives cryptographiques pour la génération de nombres aléatoires et de clés. Mais aussi des technologies de blockchain et de compression de données à haute performance. « Intel a effectué des travaux de conception autour des ASIC optimisés SHA-256 pendant des années, en commençant par des travaux de pathfinding effectués dans ses laboratoires. Nous partagerons plus de détails à l'avenir », a par ailleurs fait savoir un porte-parole du fondeur à Tom's Hardware.

Une base solide pour de prochains GPU Arc

Au mois de décembre dernier, Raja Koduri, vice-président senior et directeur général de l'Accelerated Computing Systems and Graphics (AXG) Group chez Intel, laissait entendre que les projets du fondeur pour la blockchain ne prévoyaient pas le développement de CPU ou de GPU polyvalents. Le dirigeant d'Intel a par ailleurs déclaré au streamer DrLupo qu'il souhaitait développer une base solide pour ses GPU Arc, en tout cas suffisante pour que l’entreprise puisse attirer l'attention des développeurs de logiciels. « Si ces GPU Arc finissent uniquement dans les fermes de minage, cet objectif ne sera pas atteint », a toutefois expliqué Raja Koduri.

Ce n'est probablement pas une surprise, étant donné que le minage efficace de Bitcoin s'est déplacé depuis longtemps vers les ASIC. C'est pour cette raison que le calcul de cryptomonnaies de niche a gagné en popularité, car les PC courants peuvent encore rivaliser avec des activités de minages plus spécialisées et bien rémunératrices. « Les GPU feront des graphismes, des jeux et toutes ces choses merveilleuses. Mais être capable de faire une validation blockchain beaucoup plus efficace à un beaucoup plus un coût inférieur, avec une puissance beaucoup plus faible, est un problème assez qui peut être résolu. Et vous savez quoi, nous travaillons là-dessus, et à un moment donné, espérons dans un futur pas trop lointain, nous partagerons un peu d'informations intéressantes à ce sujet », a indiqué Raja Koduri à HEK.

7. LE 18 JANVIER 2022 / PROCESSEUR

Les fréquences du Core i9-12900HK sont de 5 GHz max pour les six coeurs P et 3,80 GHz pour les huit coeurs E. (Crédit Intel)Test Intel Core i9-12900HK : La puce pour PC portable la plus rapide du moment. Nos tests de référence sur des ordinateurs portables de préproduction montrent en effet que le Core i9-12900HK est le "processeur mobile le plus rapide de tous les temps".  

Les fréquences du Core i9-12900HK sont de 5 GHz max pour les six coeurs P et 3,80 GHz pour les huit coeurs E. (Crédit Intel)

 

 

8. LE 05 JANVIER 2022 / PC PORTABLE

Dell dévoile la version Plus de son XPS 13. Ce Dell XPS 13 Plus pourrait bien être le XPS 13 le plus puissant jamais vu grâce à un Core i7 de 12e génération avec 14 coeurs. La firme a, de plus, emprunté quelques astuces à Apple pour rendre son PC performant et élégant. 

Le modèle XPS 13 Plus de Dell, au design épuré, a été dévoilé à l'occasion du CES 2022 qui s'est tenu à Las Vegas. (Crédit : Dell)Le modèle XPS 13 Plus de Dell, au design épuré, a été dévoilé à l'occasion du CES 2022 qui s'est tenu à Las Vegas. (Crédit : Dell)

Le XPS 13 original de Dell, ultraportable au design soigné, a donné le ton à tous les autres modèles d'ordinateurs portables, et Dell cherche à réitérer ce succès avec son dernier modèle, le XPS 13 Plus. Présenté à l'occasion du CES 2022, il arbore un design moderne et minimaliste. Le clou du spectacle ? Dell a équipé le XPS 13 Plus des puces Alder Lake de 12e génération d'Intel, ce qui confère aux machines une augmentation considérable des performances. Parlons d’abord de son aspect. Cela commence par une différence frappante qui distingue le XPS 13 Plus du XPS 13 légèrement plus léger : l'intégration d'un trackpad haptique dans une partie transparente du repose-paume. Les trackpads traditionnels sont généralement insérés dans un hublot rectangulaire découpé dans la zone du repose-poignets. Mais sur le XPS 13 Plus, l'empreinte du trackpad est invisible, ce qui donne à l'ordinateur portable la sensation de ne pas avoir de trackpad du tout.

Sur la plupart des ordinateurs portables classiques, nous sommes habitués à un clic physique lorsque nous utilisons le trackpad. Avec le XPS 13 Plus, le trackpad haptique rappelle l'écran d'un smartphone : Votre doigt ressent une vibration pulsée lorsque vous déplacez votre curseur sur l'écran. Apple utilise des trackpads haptiques dans ses MacBook depuis un certain temps, mais ces ordinateurs portables comportent toujours une découpe rectangulaire conventionnelle, alors que le XPS 13 Plus est plus élégant et sans couture.

Dell prend exemple sur Apple

Dell emprunte une autre astuce à Apple avec l'utilisation de touches de fonction capacitives sur le dessus, abandonnant les touches à dôme en caoutchouc. Dell a déclaré qu'il n'essayait pas de copier la Touchbar d'Apple, mais qu'il voulait simplement gagner de l'espace. Les boutons physiques sont plus hauts que les boutons tactiles capacitifs, et comme personne ne s’acharne sur une touche de sourdine ou F4 comme on pourrait le faire sur la lettre A ou E, l'absence de boutons de fonction physiques ne devrait pas gêner outre mesure. Dell affirme que l'économie de cet espace, aussi minuscule soit-il, permet à l'ordinateur portable d'être plus fin et optimise l'espace pour le matériel supplémentaire à l'intérieur.

Et pour prouver que Dell peut être aussi distruptif qu'Apple, la société a pris la décision de supprimer la prise casque. L'avantage est que l’utilisateur obtient un port Thunderbolt 4 gauche et droit. Dell a déclaré qu'elle n'a pas pris cette décision pour mettre en colère ses utilisateurs ou pour économiser 50 centimes sur un composant. Les responsables de la société ont déclaré qu'ils avaient retiré la prise pour des raisons techniques légitimes. Les prises casque analogiques peuvent ressembler à un minuscule trou sur le côté d'un ordinateur portable, mais ce que l’on ne réalise pas, c'est à quel point les prises doivent être profondes. En supprimant la prise physique et en adoptant les touches de fonction tactiles capacitives, Dell a libéré de l'espace pour les pièces de performance. 

 

Dell a libéré de l'espace pour les pièces de performance en supprimant la prise casque. (Crédit : Dell)

 

Dans ce domaine, Dell propose des configurations allant de 8 Go de LPDR5/5200 à 32 Go de LPDDR5/5200. La LPDDR5 offre une augmentation décente de la bande passante par rapport à la LPDDR4X, mais pas tout à fait le doublement de la bande passante que nous avons vu dans la transition de la DDR4 à la DDR5 dans les ordinateurs de bureau. Il n'en reste pas moins que l'augmentation de la bande passante favorise généralement les performances graphiques et, dans ce cas, la LPDDR5 permet également de réaliser des économies d'énergie significatives. Le stockage est assuré par un SSD PCIe Gen 3 de 256 Go ou un SSD PCIe Gen 4 de 2 To utilisant un emplacement M.2 standard. De même, vous trouverez un clavier à dôme « normal » avec 1 mm de déplacement.

 

Un écran OLED mais pas d’amélioration de la webcam

L'écran de 13,4 pouces au format 16:10 va varier d'un écran tactile 4K UHD+ 3840×2400 500-nit avec une gamme de couleurs DCI-P3 à un écran OLED 3456×2160, en passant par deux options FHD+. La capacité de la batterie est de 55 wattheures avec une capacité WiFi 6E (2×2) et Bluetooth 5.2. Enfin, pour ceux qui espéraient une meilleure webcam, Dell n'utilise toujours pas une caméra de résolution 1080p, mais il utilise un module biométrique Windows Hello qui sépare la caméra infrarouge de la caméra RVB pour une meilleure qualité d'image en basse lumière. Le XPS 13 Plus sera mis en vente ce printemps à partir de 1 199 dollars HT (environ 1060 euros).

 

 

Source : LMI / HEK

 

 

 

Log In
Search
Calendar
«  April 2024  »
SuMoTuWeThFrSa
 123456
78910111213
14151617181920
21222324252627
282930
Site friends